Le paysage était sublime tandis qu’on longeait une colline rocheuse qui descendait vers la mer. Les genévriers, les romarins, ainsi que diverses variétés d’arbustes typiquement méditerranéens, y côtoyaient des chênes centenaires et diffusaient leurs effluves tièdes et revigorants. D’après notre ami italien, se cachaient sous la falaise, toutes plus belles les unes que les autres, des criques aux eaux turquoises et au sable blanc...